correspondances*

NOVEMBRE 2017
*LA NEWSLETTER DE TRANSAMO #5

édito


VINCENT CORDONNIER
DIRECTEUR GÉNÉRAL



2016 voyait la création d’une succursale au Maroc, 2017 se terminera avec celle d’une filiale en Australie. 2018 devrait être plus internationale que jamais pour Transamo !

Au Maroc, les potentialités à venir, les enjeux économiques, sociaux et urbains liés à la mobilité, sont immenses, dans un pays à la fois structuré et dynamique. Nos missions y sont d’ores et déjà multiples : assistance à maîtrise d’ouvrage sur la Ligne 2 du Tram à Casablanca, modélisation et restructuration de réseaux bus, études de faisabilité de transport par câble, étude d’opportunité de déploiement de bus électriques…. Nous comptons nous y installer durablement pour y déployer l’ensemble de nos expertises et, au-delà, y construire des partenariats solides tournés à la fois vers la Méditerranée et vers l’Afrique subsaharienne.

En France, nous mettons toute notre énergie à porter avec nos clients des projets de plus en plus divers, souvent complexes et soumis à des aléas politiques et financiers de plus en plus fréquents. Dans l’urbain, comme dans le ferroviaire, avec le vieillissement des réseaux et l’évolution rapide des technologies, les arbitrages en faveur de la rénovation des infrastructures et des systèmes existants s’imposent de plus en plus face aux projets neufs. L’un comme l’autre restent des projets complexes qui nécessitent une gouvernance structurée, une planification rigoureuse, une maitrise des travaux et de leurs interfaces avec la ville, les riverains, les projets connexes, les exploitants. Pour l’un comme pour l’autre, nous apportons l’expertise et le conseil nécessaire pour éclairer les choix amont et prendre les bonnes décisions. Ensuite, il s’agit de s’y tenir, et la constance des décideurs restera toujours la clé d’une action publique efficace.

Le 20 octobre dernier, le Comité du Syndicat Mixte des Transports Urbains Thionville – Fensch (SMiTU) a approuvé à l’unanimité le bilan de la concertation réglementaire sur le projet Citézen. Retour sur plusieurs mois de travail pour les équipes du groupement Sodevam-Transamo, mandataire du SMiTU.

Citézen, les lignes qui nous rapprochent

Citézen est un projet de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) porté par le SMiTU qui vise à faciliter les déplacements, le développement économique et améliorer le cadre de vie des communes traversées par le projet. Citézen consiste en la création de deux nouvelles lignes structurantes de bus, dont :

  • une ligne rouge d’une longueur de 22 km entre Hayange et Basse Ham ;
  • une ligne verte d’une longueur de 12 km entre Metzange et Yutz.

Il est prévu que ces deux lignes bénéficient d’aménagements ponctuels et ciblés à même d’assurer une bonne vitesse commerciale et un service régulier.

Dans le cadre de ce projet, Transamo en groupement avec la SODEVAM agit au nom et pour le compte du SMiTU en tant que mandataire de maîtrise d’ouvrage.

1 mois de concertation, 2 réunions publiques, 3 réunions « commerçants », 5 rencontres de proximité pour 99 contributions

Afin d’informer les habitants du territoire sur le projet Citézen, de recueillir leurs observations et de répondre à leurs questions, le SMiTU a organisé une concertation du 28 août au 27 septembre 2017 comprenant une large gamme de modalités d’information et de participation : publication d’un dossier et d’un dépliant d’information, mise en ligne d’un formulaire de dépôt d’avis, organisation de différentes rencontres et réunions… La concertation a généré l’expression de 99 contributions.

De ces contributions, les élus ont principalement retenu que l’opportunité du projet Citézen est confirmée, reconnue et partagée par les participants. Citézen est attendu pour garantir qualité de service et fiabilité des temps de parcours. Il est espéré que ce projet participe pleinement à l’amélioration de l’ensemble du réseau.

Le résultat d’un processus combinant toute les compétences internes de Transamo

Pour arriver à l’adoption de ce bilan, Transamo aura accompagné le SMiTU dans toutes les dimensions de préparation et d’organisation de la concertation réglementaire : veille et conseil juridique, passation d’un marché d’AMO spécifique, pilotage d’une étude de contexte, création d’une identité graphique et choix de la dénomination du projet, conception et suivi de la fabrication des supports mais aussi préparation des portes paroles, organisation des différents évènements et, enfin, rédaction du bilan de la concertation.

L’adoption de ce bilan conduit désormais les élus et les techniciens du SMiTU, accompagnés par toutes les équipes concernées de Transamo vers la finalisation des études d’avant-projet et de l’étude d’impact afin d’organiser l’enquête d’utilité publique en 2018.

Vincent Lecoq
Chargé de communication Projets

ça vous intéresse


Les Assises nationales de la mobilité ou comment le ministère de l’équipement est devenu le ministère de la transition écologique et solidaire


 

Le calendrier du gouvernement en matière de transport est désormais très clair : une pause dans la réalisation des grands projets d’infrastructures, des Assises nationales de la mobilité et une loi d’orientation des mobilités, qui sera présentée au Parlement début 2018.

Les assises de la mobilité au cours des prochains mois ont donc pour objectif de définir des mobilités plus soutenables pour équilibrer les modèles économiques, dégager des ressources financières à la hauteur des besoins et rendre la gouvernance plus efficace. Il s’agit d’utiliser au mieux l’existant pour améliorer les transports du quotidien.

En somme le droit des transports se caractérise désormais par l’introduction dans la législation de mesures diverses pour rendre concrète la transition écologique et solidaire : déploiement d’un réseau d’infrastructures de recharge de véhicules électriques sur l’espace public (décret n° 2014-1313 du 31 octobre 2014), l’open data permettant l’organisation optimale des services de mobilité et des modes de transport (loi n°2015-990 du 6 août 2015), le renouvellement des flottes avec des véhicules à faibles émissions définis comme les véhicules électriques (loi de transition énergétique du 17 août 2015),

les installations dédiées à la recharge des véhicules électriques ou hybrides rechargeables et aux infrastructures permettant le stationnement des vélos lors de la construction de bâtiments neufs (décret n° 2016-968 du 13 juillet 2016), les véhicules autonomes et connectés (ordonnance n°2016-1057 du 3 août 2016 relative à l’expérimentation de véhicules à délégation de conduite sur les voies publiques).

D’autres innovations seront probablement introduites très prochainement dans le droit des transports : la blockchain par exemple permet entre autres de décentraliser la gestion des transports pour développer de nouvelles solutions innovantes organisant le covoiturage, les vélos en libre-service ou même les véhicules autonomes. La loi d'orientation de la mobilité prévue en 2018 pourra formuler des propositions sur les cadres de gouvernance et les éventuelles exigences de sécurité et d'interopérabilité en matière de blockchain.

Il s’agit donc de faire mieux, beaucoup mieux avec les infrastructures déjà existantes, à partir des nouvelles possibilités juridiques offertes, de quoi renouveler largement la pratique des consultations juridiques accessoires aux prestations d’ingénierie-conseil prévue par les textes (loi n°71-1130 et arrêté du 19 décembre 2000).

Cécile Pavageau
Directrice juridique de Transamo


C’est déjà demain

Une révolution nommée Open Data


Depuis août 2015, le code des transports s’est mis à l’Open Data en disposant que les données des services réguliers de transport public de personnes et des services de mobilité sont diffusées librement, immédiatement et gratuitement en vue d’informer les usagers et de fournir le meilleur service, notamment en permettant l’organisation optimale des services de mobilité et des modes de transport. Dans ce but, elles sont diffusées par voie électronique, au public et aux autres exploitants, dans un format ouvert destiné à permettre leur réutilisation libre, immédiate et gratuite. Cette mise à disposition de données -l’Open Data- permet à une grande variété d’acteurs de travailler autrement, en réalisant des analyses statistiques, en améliorant leurs services ou en créant de nouveaux produits ou applications. L’idée est de mettre à disposition le maximum d’informations, pour que chacun puisse s’en emparer et développer des services qui puissent bénéficier à tous.

Dans notre secteur des transports, les informations maintenant disponibles à tous sont de deux types. Tout d’abord les données numériques relatives aux arrêts, aux tarifs publics, aux horaires planifiés et en temps réel, à l’accessibilité aux personnes handicapées, à la disponibilité des services, ainsi qu’aux incidents constatés sur le réseau et à la fourniture des services de mobilité et de transport. Et ensuite les données numériques issues de services de calculateurs d’itinéraires multimodaux gérés par ou pour le compte des autorités organisatrices de transport.

L’obligation de diffuser ces données incombent aux exploitants des services de transport et de mobilité ainsi qu’aux autorités organisatrices de transport. La RATP a été un des premiers opérateurs à publier par arrêté au Journal Officiel du 23 mars 2017 son code de conduite définissant ses lignes directrices et conditions de diffusion et d’actualisation des données. La RATP a ainsi ouvert un site dédié aux données qu’elle met à disposition (http://data.ratp.fr ). Ce faisant, elle permet à des tiers, notamment des développeurs et des entrepreneurs, d’imaginer de nouvelles manières d’utiliser et valoriser la data qu’elle rend publique. L’entreprise soutient d’ailleurs de multiples initiatives destinées à créer de nouveaux services et applications innovantes.

La SNCF en a fait de même (http://data.sncf.com ). Au niveau national, Etalab (service du Premier Ministre) administre le site internet http://www.data.gouv.fr , véritable catalogue des données publiques de toute nature. Un moteur de recherche permet de cibler les données souhaitées.Pour y voir plus clair et enrichir son offre, Transdev, associé à trois autres partenaires (l’ONG OuiShare, la Fabrique des Mobilités et la Caisse des Dépôts) a lancé en 2016 la plateforme Catalogue (The International Open Platform For Mobility Data). Des jeux de données concernant les réseaux de Bordeaux, Brest, Grenoble, SNCF - Transilien, etc… y sont disponibles. Une cartographie permet de visualiser les données à télécharger.

La vigilance est de mise même si, on le voit, l’Open Data ouvre d’immenses perspectives. On entre littéralement dans un nouveau monde où chaque acteur doit redéfinir sa place, son rôle, ses missions. Jusqu’où vont ceux de l’exploitant de transport ? Peut-il rendre public les données échangées via les systèmes toujours plus nombreux de wi-fi embarqués ? Les résultats des enquêtes qu’il est amené à conduire doivent-ils être révélés à tous ? Et de façon plus générale, la priorité doit-elle toujours être donnée aux grands projets ou faut-il plutôt s’attacher à améliorer –grâce à l’Open Data- l’exploitation de ce qui existe par une approche la plus fine et la plus aiguisée possible des moyens alloués ?

Ces nombreux questionnements, et plus particulièrement celui de l’exploitation de ces données par les géants du numérique comme Google, ont notamment conduit Transdev, Blablacar, la SNCF et la RATP à lancer collectivement à l’été 2017 le développement d'un « data warehouse », une base de données centralisant des informations comme les horaires théoriques et ceux communiqués en temps réel.

Par l’Open Data, tous les acteurs du transport public se voient donc confrontés à une nouvelle façon d’appréhender le vivre ensemble, la mobilité, les transports et la ville durable. C’est peut-être ainsi qu’ils rendront la ville intelligente.


L’œil de…

Youssef DRAISS

Directeur général de Casa Transport SA


La ville de Casablanca a lancé voici quelques années un plan important de développement local. C'est dans ce contexte qu'a été créé en 2009 Casa Transport SA. Sa mission, réaliser un ensemble de lignes de transport en site propre destiné à améliorer les déplacements urbains et désenclaver les quartiers périphériques de la ville.

A Casablanca, le développement de la mobilité est une réalité "vraie"

Tout à fait, nous travaillons depuis quelques années sur un plan d'action à la fois très large et très ambitieux. En visant une mobilité mieux partagée, nous cherchons via de nouveaux moyens de transport à réduire les inégalités et à permettre à chacun de se déplacer dans les meilleures conditions. Nos investissements en la matière représentent plusieurs milliards de dirhams, les chantiers en cours et à venir sont très importants.

On se souvient de la mise en service de la première ligne de tramway, où en sont les autres projets ?

Rappelons tout d’abord que notre tramway en site propre est encore tout jeune : la ligne T1 qui relie Sidi Moumen à Aïn Diab et au quartier des facultés a été mise en service il y a à peine 5 ans ! 48 stations accueillent chaque jour plus de 130 000 voyageurs et nous avons décidé de prolonger cette ligne de 2 km afin de pouvoir la connecter à la future ligne T2. Cette deuxième ligne fait 15 km et elle en cours de réalisation. Parallèlement, nous avons entamé les travaux préparatoires de déviation des réseaux pour les lignes T3 et T4 (28 km au total) et nous avons démarré les études préliminaires des lignes de BHNS (2 lignes de 12 et 10 km respectivement).

Quand sera terminée cette ligne T2 ?

Les travaux sont en bonne voie de finition. La mise en service du T2 est prévue en octobre 2018. Cette seconde ligne d’une quinzaine de km reliera Sidi Bernoussi à Aïn Diab ; elle récupérera une branche de la ligne T1 et dessinera l'amorce d'un véritable réseau avec plusieurs points de correspondance.

Justement, puisque vous parlez réseau, quelles en seront les autres composantes ?

Comme signalé auparavant, la 2ème ligne sera mise en service en octobre 2018. Les lignes T3 et T4 ont vu les travaux préliminaires démarrer. La mise en service de ces deux lignes est prévue respectivement fin 2021 et fin 2022. Les deux lignes BHNS seront achevées en 2020 et 2021. A terme, Casablanca aura un réseau global d’environ 100 km comprenant 76 km en mode Tramway et 22 km en mode BHNS. Parallèlement à ce réseau en site propre, la ville travaille sur la modernisation de l’offre des Bus. L’objectif est d’avoir un transport public de qualité.

Vous avez cependant laissé de côté certains projets ?

C'est exact, nous n'avons pas donné suite au projet de métro aérien qui devait traverser Casablanca, d’une part pour des raisons de coût (5 fois plus cher qu’un tramway « classique ») et d’autre part pour éviter de dénaturer le site de Casablanca dont nous sommes tous fiers.

En termes de financement vous avez opté pour un système original ?

Un modèle marocain de financement a été mis en place. Un Fonds dédié au financement des transports publics a été mis en place par le Gouvernement. Casa Transport SA est une Société de Développement Local (SDL). Cette formule de gestion des services publics locaux installée par le gouvernement pour mettre à niveau nos transports publics combine la souplesse de gestion des sociétés anonymes, dont le statut lui est applicable, avec la prise en compte de l’intérêt général puisqu’agissant dans les domaines de compétence des collectivités, qui en sont les principaux actionnaires.

Et qu'en est-il du FART ?

Le Fonds d'Appui aux Réformes du Transport urbain et interurbain, doté de 200 millions d'euros par an, contribue comme la ville, à la réalisation des infrastructures. Il permet la prise en charge des dépenses d’investissement relatives aux projets de TCSP et éventuellement du déficit d’exploitation pendant les phases de démarrage.

Votre dynamisme, votre volontarisme, font école au Maroc ?

Notre modèle est inspirant et c'est tant mieux. Des villes comme Rabat, Marrakech et aussi Agadir observent de près ce que nous faisons et avancent de leur côté, qui avec des lignes de BHNS, qui avec des lignes de tramway. Des villes africaines s’inspirent également de notre modèle institutionnel et financier. Et c’est tant mieux.

A vos côtés depuis quelques années, on trouve Transamo. Pourquoi ce choix ?

Transamo intervient effectivement sur le projet de ligne T2 en tant qu’assistant à maitrise d’ouvrage. Je me félicite de ce choix, d'une part parce que les équipes sont très impliquées à tous les niveaux et d'autre part parce qu'elles ont une vision particulièrement complète de leur action. Par rapport à d'autres confrères ou concurrents, Transamo apporte, en plus, un regard d'exploitant. L'entreprise nous conseille ainsi sur telle ou telle précaution à prendre au-delà des pures problématiques de construction. C'est très important pour nous.


exemple à suivre


Des Plans de Mobilité pour une meilleure qualité de vie au travail et une diminution de l’empreinte écologique des entreprises

Résultant d’une démarche volontariste par le passé, la réalisation d’un Plan de Mobilité (anciennement appelé PDE) sera obligatoire d’ici le 1er janvier 2018 pour toute entreprise de plus de 100 salariés sur un même site à l’intérieur d'un périmètre des transports urbains.

Les Plans de Mobilité visent en particulier à améliorer les conditions de déplacements liés aux activités professionnelles et s’inscrivent dans une démarche plus générale d’amélioration de la qualité de vie au travail. Ils contribuent par ailleurs à la diminution de l’empreinte écologique des entreprises.

Cependant, l’amélioration des conditions de déplacement des salariés nécessite souvent une réflexion à plus grande échelle. C’est notamment la philosophie des Plans de Mobilité Inter-Entreprises (anciennement appelés PDIE) qui permettent le partage des retours d'expériences entre entreprises voisines et surtout la mutualisation des ressources pour la mise en œuvre d'actions communes (plateforme de covoiturage, mise en place de navettes inter-entreprises, etc.).

Ces Plans de Mobilité Inter-Entreprises sont souvent pilotés par une collectivité locale, un gestionnaire de zone ou un club d’entreprises qui se charge de réaliser le diagnostic, d’identifier les actions mutualisables et accompagne les entreprises dans la mise en œuvre et le suivi des actions.

Plans de Mobilité Entreprise et Inter-Entreprises sont donc complémentaires en permettant d’agir à différents niveaux : réduire le nombre de déplacements (télétravail à domicile ou en tiers-lieux, crédits mobilité), infléchir les politiques publiques en matière de mobilité (desserte en transports en commun, aménagements en faveur des modes doux), modifier les pratiques de déplacements via la création de services mutualisés (plateforme de covoiturage, services inter-entreprises, vélos en libre-service etc…).

Transamo réalise actuellement le Plan de Mobilité de Transdev, et dans ce cadre intervient activement dans l’élaboration du Plan de Mobilité Inter-Entreprises du quartier Issy-Val-de-Seine initié par Grand Paris Seine Ouest (GPSO). Transamo a notamment mené une enquête en ligne auprès des entreprises du quartier afin d’identifier les actions mutualisables et faciliter les retours d’expérience. Transamo réalise également le Plan de Mobilité d’Administration de la province Sud en Nouvelle-Calédonie qui vise à améliorer les conditions de déplacement des 2400 agents de la collectivité répartis sur une trentaine de sites.

Simon Gloaguen
Chargé d’études

En bref



TRANSAMO, PARTENAIRE DE TOULOUSE POUR LA GESTION DU PATRIMOINE DES SYSTÈMES BILLETTIQUE, MONÉTIQUE ET SAEIV

Transamo a été retenu par le SMTC Tisséo pour l’accompagner dans ses choix stratégiques futurs concernant les systèmes billettiques, monétiques (paiements électroniques) et SAEIV sur l’ensemble du réseau de l’agglomération toulousaine. Il s’agira notamment de s’assurer de la pérennité et de la pertinence des investissements réalisés ou à réaliser au regard de la stratégie et des ambitions affichées par la collectivité face aux enjeux des transports. Transamo accompagnera également le SMTC Tisséo dans le suivi et la coordination des phases de réalisation des projets systèmes retenus.


LE TRAMWAY DE LIEGE RECOMPENSÉ

Le projet du tram de Liège a reçu le grand prix de l'urbanisme 2017 de la Chambre des Urbanistes de Belgique. Le groupement Liègetram, auteur de projet pour la SRWT (maître d’ouvrage), associe Greisch, Transamo, Richez_Associés, la STIB et Atelier d’Architecture du Sart-Tilman.


LE TRAMWAY DU MANS A 10 ANS !



Le Mans fête les 10 ans de son réseau tramway : en novembre 2007 était inaugurée la ligne T1 (maîtrise d’ouvrage déléguée au groupement Société d’Equipement du Mans / Transamo).